L’année 2018 qui s’achève a définitivement mis en lumière un phénomène de guerre des talents sur le marché des cadres. Dans un contexte de quasi plein emploi – taux de chômage de 3.5% -, les besoins de recrutements n’ont jamais été aussi élevés – 250 000 recrutements de cadres – et les tensions de recrutements se sont naturellement généralisées à l’ensemble des profils. Attirer un candidat n’a finalement jamais été aussi difficile car ce dernier est devenu très exigeant et a la chance de pouvoir envisager de quitter son entreprise si cette dernière ne répond pas à ces attentes. Pourtant si 54% des cadres se déclarent attentifs à la mobilité, seulement 8% d’entre eux devraient franchir le cap cette année en changeant d’entreprise.
Pourquoi un tel paradoxe ?
Bien que source de fantasmes, démissionner suscite naturellement des hésitations ou inquiétudes et reste toujours perçue comme un risque pouvant être associé à un sentiment d’échec. Mais ne nous trompons pas. Si le passage à l’acte est toujours aussi complexe, c’est parce que les cadres en démissionnant recherchent certes de nouvelles perspectives, une meilleure rémunération mais surtout ont l’ambition d’être plus heureux dans leur travail. Est-ce une réalité ? Qui mieux que ceux ayant démissionné pour nous donner un avis ?
80% des cadres ayant déjà démissionné constatent un impact positif sur leur niveau de bien-être général.
Découvrez un panorama de leur vision de la démission dans cette étude.
Retrouvez ici l’étude de l’APEC.
Pour de plus amples informations sur nos prestations et conseils, n’hésitez pas à nous contacter.
